De l'arche Latika à Montbrun

Durant l'approche, on aperçoit le parcours envisagé, mais le chemin est encore raide et long.

Sur le sentier classique de l'approche, avec le Rocher du Midi à gauche.

C'est là qu'il va falloir quitter ce chemin.

Une jolie petite arche se présente peu après le début de notre digression. Jean-René l'avait appelée "Latika", du nom d'un être cher.

C'est une porte vers un univers étrange et différent, un peu comme "Stargate"... (photo J.R. Bouvier)

Jean-René devant "son" arche.

Curieusement, une sente balisée en bleu passe non loin au-dessus.

L'accès à la vire jaune s'avère parfois un peu exposé.

Des falaises tourmentées et colorées constituent ici un décor fabuleux, comme dans toute la barrière est du massif.

Derniers dévers avant la vire jaune.

Sur la vire, quelqu'un a installé une corde dont on aurait pu se passer (photo J.R. Bouvier).

La progression est en fait assez aisée malgré l'étroitesse.

Le Grésivaudan et Belledonne constituent un décor de choix.

Le rocher jaune style "vaisselle cassée" me rappelle celui du Grand Manti, où j'avais ouvert la voie des "Mendiants de miracle".

La corde n'est utile que dans un court passage.

(photo J.R. Bouvier)

(photo J.R. Bouvier)

Une autre arche repérée par Jean-René tout près du pas de Montbrun, et qu'il n'a pu atteindre pour l'instant qu'au prix de trois rappels en compagnie de Michel Rousseau et David Gelin (photo J.R. Bouvier).

Dans le raide pas de Montbrun, un peu de neige subsiste.

Arrivée dans le cirque supérieur du pas de Montbrun.

Nous nous dirigeons à gauche sur le sangle des Arches, que je présentais dans "Chartreuse inédite".

(photo J.R. Bouvier)

Cette photo de Jean-René fera date. Le chamois n'est pas seul dans l'arche de Rocheplane (regardez à gauche dans la neige).

Petite digression qui évite le pas scabreux du sangle par dessous.

Et retour par le pas de Rocheplane.