Les banquettes du Cornafion

C'est au lieu-dit "les Côtes" que l'on va monter droit vers les banquettes du plateau du Cornafion. Au fond, la Moucherolle.

En rouge, le parcours intégral des banquettes. En jaune, la petite vire supérieure et la sortie sur le plateau par l'entonnoir herbeux.

Sur la raide remontée des bien-nommées Côtes, accès direct à la falaise que traversent les banquettes. Il faut viser une petite dépression qui va permettre de prendre pied sur celles-ci.

Les banquettes dans leur intégralité.

La petite dépression permettant de prendre pied sur les banquettes s'escalade facilement.

On arrive sur les banquettes à ce niveau.

Plutôt que de partir tout de suite à droite sur la grande banquette herbeuse, il est conseillé de monter quelques mètres et de s'engager sur la petite vire supérieure, sur laquelle se trouve une bonne trace.

Cette petite vire semble interrompue par une étroite corniche rocheuse, mais en fait, ça passe tranquille.

On n'aurait pas cru...

On voit ici la petite vire supérieure en haut à gauche.

Si l'on poursuit la petite vire supérieure au-delà du grand arbre, on arrivera dessous cette petite arche.

On tient tout juste debout dedans l'arche. Au fond, le vallon de la Fauge et la Cote 2000.

Vue des banquettes depuis le seul grand arbre du secteur. C'est au-dessus de cet arbre qu'un couloir permet de rejoindre aisément le plateau si on le désire (voir plus bas).

L'endroit est très prisé des parapentistes.

Au fond à gauche, Villard-de-Lans.

On progresse face au col Vert.

Un orchis pyramidal tardif.

C'est en se retournant vers ce pilier sous lequel on vient de passer qu'on verra deux trous. Celui de gauche est minuscule, mais il permet de repérer une arche-tunnel située juste à sa droite, peu visible d'ici. On peut monter dedans (voir photo suivante).

Villard-de-Lans depuis l'arche du Roybonnet (photo Bob Keller).

Au bout des banquettes, on change d'orientation et on se dirige vers le nord-est.

On débouche ainsi dans les pentes très végétatives qui bordent la combe de Pissavache.

Après la fin des rochers, il faut monter dans la pente herbeuse jusqu'à trouver ce sentier qui permet de rejoindre celui qui traverse le plateau du Cornafion. On voit d'ailleurs ce sommet à l'arrière-plan.

Traversée du plateau du Cornafion.

La combe Chaulange est envahie par une végétation foisonnante. Sans la trace qui s'y faufile, elle serait impraticable.

Après la descente de la combe Chaulange, on arrive aux prairies de Machiret couvertes de coquelicots, tout près de la Conversaria.

Sur la petite vire supérieure, il faut aller jusqu'au-dessus du seul grand arbre des banquettes.

On arrive ainsi sous un couloir évident qui s'évase jusqu'au rebord du plateau.

Cet entonnoir herbeux se remonte sans problème.

Arrivée sur le plateau.

Une fois sur le plateau du Cornafion, un chemin permet de longer le rebord des falaises et de traverser sous les arbres jusqu'au bout. De là, on voit parfaitement les banquettes.

Les banquettes vues depuis le sentier entre Roybon et col Vert. À droite, le Cornafion.